Les décisions du Conseil Municipal du 8 septembre 2020

LA COMMUNE INTEGRE LE PROJET ALIMENT’ACTIONS

La commune d’Aigondigné intègre le projet « Aliment’actions » en partenariat avec Scop Wision et le CNRS de Chizé dont l’objectif est d’accompagner les aigondignois dans une réflexion collective sur la reterritorialisation de nos systèmes alimentaires.

UNE NOUVELLE MAIRIE EN PROJET

Le Conseil municipal autorise à donner mission à un programmiste pour la réhabilitation de la maison dite “Roullet” à l’abandon depuis plusieurs années pour y accueillir les services administratifs ainsi qu’une réflexion d’ensemble sur le devenir ou le changement de destination de plusieurs bâtiments communaux.

DEMANDES DE SUBVENTIONS

Le Conseil valide le plan de financement pour les aménagements de sécurité des entrées de bourg de Mougon-Thorigné et autorise le Maire à déposer une demande de subvention au titre de la Dotation des Equipements Ruraux.

Un 3ème chantier pour des travaux de busage et curage sera sollicité auprès du Département dans le cadre du dispositif de soutien du département à l’investissement local « 1000 chantiers ».

GRATIFICATION DES STAGIAIRES

Le Conseil municipal autorise qu’une gratification soit donnée aux stagiaires qui effectuent une période de stage de 4 semaines ou plus au sein de la commune.

BUDGET PARTICIPATIF DU DEPARTEMENT

Deux projets sur la commune d’Aigondigné ont été retenus pour l’étape du vote par les habitants deux-sévriens :

  • Ethan PERE-LAHOURGUETTE, 13 ans pour l’implantation d’un skate-park à la place du terrain de tennis de Sainte Blandine
  • Peire MARTINEZ pour l’association AYUDA avec la création d’un café-citoyen dans l’ancien multiservice de Sainte-Blandine.

MELLOIS EN POITOU

Patricia Rouxel, Maire, est désignée pour siéger à la CLECT. Le Conseil prend connaissance du rapport d’activités de Mellois en Poitou et fait part des observations suivantes : une sous-consommation des crédits LEADER liée à un plafonnement de l’aide trop faible, l’absence d’indicateurs de fréquentation des équipements communautaires, une concentration des projets et des financements sur les chefs-lieux de canton, l’absence des conclusions des travaux du Conseil de développement, un manque de transparence sur la fiscalité, la notification d’un contrôle de la cour régionale des comptes non communiqué aux élus communautaires.

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